Commentaires sur Joëlle du groupe il etait une fois
LA MORT
Lorsque claquera la Porte, s'ouvrira le grand show cosmique.
Effrayant, inouï ou intime et serein selon l'imagination, les craintes ou les espérances de chacun, le passage ne sera finalement qu'une formalité.
Au-delà de la pourriture, la Lumière.
L'atroce, l'immonde, l'épouvantable pourriture est l'ultime illusion à chasser, le dernier piège à éviter, la suprême insignifiance à mépriser. Une fois le cadavre sous la stèle, le spectacle doit continuer. Après les horizons bornés du temps, l'Éternité. Qui n'est rien d'autre que l'affranchissement de la conscience d'un cadre physique, matériel, la libération de l'esprit des limites d'une durée linéaire.
La mort est une aventure à vivre, une expérience unique à ne manquer sous aucun prétexte. La mort, voyez-vous c'est aussi l'humour.
Nos restes que dévore le ver et que corrompt la fange ne sont qu'inoffensives grimaces de la matière. Et le marbre recouvrant nos os, qu'un masque grotesque. Rien que des drôleries puantes. Pas de quoi élever des autels, et nul besoin non plus de les conserver dans des bocaux ou de les embaumer. Chaque destinée est un trésor autrement plus intéressant que ces puériles poteries funéraires.
Un homme qui meurt laisse tout derrière lui, c'est une banalité de le dire. Pourtant, la plupart des gens follement attachés à ce qui est périssable s'acharnent à accumuler passionnément des biens temporels. Peut-être à travers ces possessions ont-ils l'impression de prolonger, densifier leur existence... Châteaux et or, qui ne sont qu'assemblages d'atomes voués à de perpétuelles transformations et recyclages -même si c'est à l'échelle géologique-, châteaux et or disais-je contempleront du haut de leur immuable indifférence leurs maîtres lorsque ces derniers seront étendus au fond de leur cercueil. Envers ceux qui leur auront manifesté de chaleureuses affections, les objets se montreront bien ingrats à l'heure du grand départ...
Aussi, préférons un sage et relatif détachement à l'égard de la matière. S'enchaîner à ce fardeau de poussière, c'est s'embarquer pour le grand Ailleurs avec d'amers mirages. Le dépouillement matériel libère l'esprit, allège le coeur.
L'existence terrestre est l'apprentissage grandeur nature de l'Homme et sa dépouille en route pour le cimetière, le point limite entre deux extrêmes. Derrière, la misère. Devant, l'infini.
Nul ne connaît la mort, personne n'a jamais côtoyé le Mystère, aucun vivant ne peut dire un mot de ce qui se passe dans la tombe mais tous ont l'intuition d'un endroit sans limite. Même les plus sots, les plus noirs, les plus incrédules, les plus obtus, les plus lourds des esprits ont cette intuition.
La tombe n'étant que le promontoire de l'infini, répétons-le, le grand show doit continuer...
Raphaël Zacharie de IZARRA
si jesus a parler de la mort " son ami lazard depuis 6 jours dans la mort et dons les odeurs remontais dans le tombeau de souvenir jesus a dit releve toi lazard mettez vous donc la parole de dieu en doute la bible pourquoi donnez ci dessus mr raphael zacharie de izarra il faut respectez chaque personne et leurs pensee prenez la bible et sur la mort la verite est dites de la part de jesus mais de dieu lui meme et vous meme si vous rejetez dieu lui meme dieu vous rejetera alheure de la ressurections des morts
jadoré joel sais e ma génération merci pour elle on la jamais ouli joel on taime tj anita
j'ai fredonné ces chansons, viens faire un tour sous la pluie, j'ai encore révé d'elle, les filles du mercredi. que du bonheur. joelle grande chanteur, que je n'ai pas oublié....
j'ai fredonné ces chansons, viens faire un tour sous la pluie, j'ai encore révé d'elle, les filles du mercredi. que du bonheur. joelle grande chanteur, que je n'ai pas oublié....
Effrayant, inouï ou intime et serein selon l'imagination, les craintes ou les espérances de chacun, le passage ne sera finalement qu'une formalité.
Au-delà de la pourriture, la Lumière.
L'atroce, l'immonde, l'épouvantable pourriture est l'ultime illusion à chasser, le dernier piège à éviter, la suprême insignifiance à mépriser. Une fois le cadavre sous la stèle, le spectacle doit continuer. Après les horizons bornés du temps, l'Éternité. Qui n'est rien d'autre que l'affranchissement de la conscience d'un cadre physique, matériel, la libération de l'esprit des limites d'une durée linéaire.
La mort est une aventure à vivre, une expérience unique à ne manquer sous aucun prétexte. La mort, voyez-vous c'est aussi l'humour.
Nos restes que dévore le ver et que corrompt la fange ne sont qu'inoffensives grimaces de la matière. Et le marbre recouvrant nos os, qu'un masque grotesque. Rien que des drôleries puantes. Pas de quoi élever des autels, et nul besoin non plus de les conserver dans des bocaux ou de les embaumer. Chaque destinée est un trésor autrement plus intéressant que ces puériles poteries funéraires.
Un homme qui meurt laisse tout derrière lui, c'est une banalité de le dire. Pourtant, la plupart des gens follement attachés à ce qui est périssable s'acharnent à accumuler passionnément des biens temporels. Peut-être à travers ces possessions ont-ils l'impression de prolonger, densifier leur existence... Châteaux et or, qui ne sont qu'assemblages d'atomes voués à de perpétuelles transformations et recyclages -même si c'est à l'échelle géologique-, châteaux et or disais-je contempleront du haut de leur immuable indifférence leurs maîtres lorsque ces derniers seront étendus au fond de leur cercueil. Envers ceux qui leur auront manifesté de chaleureuses affections, les objets se montreront bien ingrats à l'heure du grand départ...
Aussi, préférons un sage et relatif détachement à l'égard de la matière. S'enchaîner à ce fardeau de poussière, c'est s'embarquer pour le grand Ailleurs avec d'amers mirages. Le dépouillement matériel libère l'esprit, allège le coeur.
L'existence terrestre est l'apprentissage grandeur nature de l'Homme et sa dépouille en route pour le cimetière, le point limite entre deux extrêmes. Derrière, la misère. Devant, l'infini.
Nul ne connaît la mort, personne n'a jamais côtoyé le Mystère, aucun vivant ne peut dire un mot de ce qui se passe dans la tombe mais tous ont l'intuition d'un endroit sans limite. Même les plus sots, les plus noirs, les plus incrédules, les plus obtus, les plus lourds des esprits ont cette intuition.
La tombe n'étant que le promontoire de l'infini, répétons-le, le grand show doit continuer...
Raphaël Zacharie de IZARRA